Débarquement de Thibault Julier, réveil douloureux...

"Mal a la tête... Ou est ce qu' on est?"
Thibault leva lentement la tête et regarda autour.
*Ca ressemble a une salle de classe, mais c' est pas une salle de classe, ou alors certains ont raté le controle parce qu' il y en a un peu trop qui pleurent, ici...*

Thibault n' eut pas plus le temps de réfléchir qu' il se prit un coup de pied dans les côtes avec un homme hurlant a côté de lui:
"Aller, debout maintenant, l' orphelin!
-Eh, du calme, y a pas le feu!"
2 autres coup de pied, un dans les côtes et un a la tête forcèrent Thibault à se lever. Il regarda mieux autour de lui en passant une main sur sa bouche pour enlever l' éventuel sang qui aurait pu couler.

*Un seul homme pour environ 10 ados... on ne peut pas le contrôler?*
Comme si l' homme avait entendu ses pensées, il tira son sabre de son dos, en examina le tranchant et, d' un simple moulinet, trancha la table dérrière lui en 2.
*Ok, on ne le contrôlera pas...*
A ce moment, 10 soldats sortirent de l' ombre un peu partout dans la classe, fascinant car ils étaient invisibles une seconde plutôt.
Voyant que tout le monde était maintenant levé, l' homme seul pris la parole.
"Ok, tas de feignant, je suis John Kamasaku, l' homme grâce a qui vous vous retrouvez dans ce foutoir. Vous allez être envoyé sur une île superbe avec animaux carnivores, falaises et tout le tintouin, mais surtout, on va avoir beaucoup, beaucoup, beaucoup de gamins de nationalitées différentes qui ne veulent de vous que votre mort. De plus, comme vous l' aurez remarqué, vous avec un collier édition limité qui explose dés que je ne suis pas content de vous, et qui me permet en outre de savoir ou vous êtes, ce que vous faites,...
Vous allez être apellés un à un, pour prendre un sac dérrière moi, contenant une arme choisie pour vous au hasard, ainsi qu' une bouteille d' eau, du pain, et une carte de l' ile.*

30secondes plus tard résonnait déjà le nom de Thibault Julier et l' adolescent s' avança, regardant les sacs jusqu' a trouver le sac lui étant déstiné, il courut ensuite dehors sans se retourner, se guidant au bruit d' une cascade paraissant très, très lointaine...