ATTENTION PAVE. JE SUIS DESOLE DE VOUS IMPOSER CETTE LECTURE MAIS CEUX QUI TENTE L'AVENTURE, LISEZ JUSQU'AU BOUT SVP, J'AI MIS 15 MIN A L'ECRIRE.^^
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Après une marche plutôt fatiguante, Yann arriva enfin au bout de cette partie de plage. Se trouvant face à une falaise, il décida de bifurquer à droite et se retrouva né à né avec un hopital.
Oh pas tout récent, evidemment, mais un hopital de campagne désaffecté, d'une centaine d'année environ.
La nature l'avait investit completement. Des ronces dépassaient des fenêtres et les mures étaient noir de poussière.
Un rat se sauva lorsque Yann pénétra dans le batiment. Il était dans un grand hall, vide. A sa droite s'étendait un long couloir.
Il se rapprocha de la gauche et ouvrit une première porte. Il se trouva dans une salle, ce qu'il identifia comme la salle d'attente. Le tout était sombre car le volet était fermé. Yann détourna son attention et se dirigea vers le comptoire de l'entrée.
Il ouvrit tous les tiroirs à la volée, mais aucun signe d'un objet pouvant l'aider.
Il revint au centre du hall puis, prenant une grande inspiration, il s'aventura dans le long couloir noir.
** Ne réléchit pas, ne réfléchit pas. A la vache, c'est lugubre... Y'a de quoi foutre les pétoches à un mort-vivant !**
Yann accéléra le pas, manqu'a de tomber à cause d'une mauvaise herbe et se dirigea vers la première porte.
Il l'ouvrit et à sa grande surprise, elle ne résista pas. Il se trouva dans un pièce assez grande, pleine de grands caissons métalliques.
**J'me ferai pas avoir ! Je suis près à parier que c'est une morgue.**
Le jeune garçon s'approcha des caissons, arretta de respirer ( ca aurait été mal venu de vomir maintenant à cause de l'odeur ) et l'ouvrit.
Du moins il tenta de l'ouvrir. Impossible. Il n'avait pas assez de force. Il crachat de dépit au sol puis essaiya le second. Sans succés.
Revenant dans le couloir, il se dirigeat vers la porte suivante. De même que les caissons, elle lui résista. Yann jura.
**Raaaaa !
J'en ai ras le bol ! moi qui contait trouver ici un endroit pour me planquer la nuit, je suis même pas foutu d'ouvrir une porte ! Je veux pas crever ici MERDE !**
En trombe, il se precipita vers la porte suivante et donna un énorme coup de pied ( pour lui hein, un garçon avec une force normal n'aurai pas eu à forcer autant ).
Elle s'ouvrit et le garçon se trouva dans une sorte de cabinet. La pièce était constituée en deux partie : Un grand espace, où se trouvait un meuble, sorte de buffet et un bureau. de l'autre côté, séparé de cette partie par un rideau, se trouvai un divan de psy, rongé par le temps.
Yann fit une inspection des meubles et ne trouva rien de concluant ou d'utile. Il ouvrit alors son sac à dos, sortit sa lamme de rasoir et la fourra dans sa poche. Il déposa alors son sac à côté de lui et remis la visite de l'hôpital à plus tard.
Il trouva dans un coin une vielle armoir à pharmacie. Dedans, rien n'était en très bon état. Il pris le BANDAGE ( à rajouter à mes objets, si possible et si ca fait pas trop personnage super fort et chanceux ) puis balança l'armoire à pharmacie sur le volet qui s'ouvrit dans un grand bruit.
Avec un sourire sadique, Yann annonça tout haut :
"Maintenant, ils auront bien du mal à se servir des medocs parce qu'ils coulent sur le sol !"
Puis il songeat :
** Il n'y a personne, je vais en profiter pour m'occuper de cet endroit. Je dormirai ici, au moins la première nuit. Si j'y dort tout le temps, il y a des chances qu'on me voit. Bon le problème des deux entrées, c'est que si un groupe vient, il peut m'empecher de sortir... **
Yann regarda les vitres. D'un verre assez banal, elles n'étaient néammoins pas abimées par le temps.
Il recula de quelques pas, referma la porte et fis glisser le bureau de manière à ce qu'il bloque la poignée. La pièce devenait donc innouvrable de l'extérieur. satisfait, il remit le bureau à sa place et s'approcha des volets, qu'il referma grace à leut attache.
Il sortit dehors, fit le tour de l'hôpital et se posta devant les volets de la pièce que nous appellerons A pour faciliter les choses.
Il se posta donc devans les volets de la pièce A et fit une entaille, très fine grace à sa lame de rasoir. En glissant la lame dans ce fin trou, Yann pouvait soulever le battant des volets et ainsi rentrer par l'exterieur dans la pièce même si celle ci était fermée. Pour éviter qu'une personne fasse la même chose lorsqu'il était dedans, il lui suffirai de fermer les fenêtres.
Il pouvait donc s'échapper par les deux entrées à tout moment et de l'extérieur, il n'en parraissait qu'une. Un groupe ne se séparerait pas si il ne voyait pas de deuxième sortie, le tour est joué .
Exténué, Yann revint dans la pièce. Il ferma les volets et remis le bureau devant la porte.
Il but un coup d'eau, mangea un bout de pain et posa son sac à dos dans un coin. Îl retira la carte et tenta de l'apprendre par coeur.
** Je vais rester ici un moment. Je continuerai à chercher des choses dans l'hôpital plus tard parce que là, j'en peu plus. Le voyage et les somnifères sans doute... Allez, j'vais apprendre la carte, c'est le seul avantage que j'aurai si on me trouve ! **